Pour écrire, surtout quand on est professeur, il faut oublier la littérature, ce qui prend du temps. On écrit avec sa voix, en se servant des ressources du langage, en maltraitant la langue et non en la sacralisant. Une parole de prof, cela reste pompeux. Il vaut mieux me lire. Professeur agrégé de lettres classiques, a enseigné en métropole, en Martinique et à l'Ecole Européenne de Varèse en Italie. Spécialisé dans l'enseignement du théâtre, a fait une douzaine de mises en scène en milieu scolaire. Lit la littérature anglophone et italienne. Marié avec Anne, professeur des écoles dans des quartiers difficiles, quatre enfants, déjà grands.
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